Un blog qui parle de NTIC et d'éthique pour essayer de prendre du recul sur ces outils et analyser l'évolution de notre société numérique. (la seule chose sérieuse sur ce blog est la description).
jeudi 29 décembre 2011
Boutique Apple, Shanghai
Les bonnes affaires de la boutique Air France
Bref, la montre Ice Watch qui m'a été vendue avec un bracelet cassé dans sa boîte est inutilisable et je ne vois pas comment je vais pouvoir utiliser la garantie, puisque personne n'est là pour l'assurer.
D'ici à penser que les bonnes affaires du free tax consistent à écouler de la marchandise hors d'usage, il n'y a qu'un pas vite franchi.
vendredi 2 décembre 2011
mercredi 30 novembre 2011
samedi 26 novembre 2011
mardi 1 novembre 2011
Quelques réflexions d'un expatrié
The Sick Bullet
mercredi 12 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
mardi 6 septembre 2011
The frog has got 20 fingers...
vendredi 2 septembre 2011
Living the Bullet Life
vendredi 20 mai 2011
Test Anti virus sur Mac
Régulièrement, des articles terrifiants reviennent sur les virus pour Mac qui arrivent, et puis rien ne se passe.
Alors, on nous rappelle que s'il n'y avait pas beaucoup de virus sur Mac, c'est pas parce que techniquement il est maousse costaud, mais parce qu'il n'y avait pas beaucoup d'utilisateurs (Il y a la même discussion sur Linux, et pourtant même quand près de 70% des serveurs Web tournaient sur une architecture Linux, personne ne faisait de virus pour Linux).
Bref, maintenant il y a beaucoup d'utilisateurs Mac et l'heure de vérité est de plus en plus proche !
(musique angoissante)
Dans mon institution, d'après les statistiques de connexion à la plateforme pédagogique 40% des internautes utilisaient un Mac pour se connecter. Donc, ça devient rentable de faire des virus pour Mac, les hackers (que l'on devrait appeler des crackers, mais tout le monde s'en fout depuis longtemps) vont se mettre au travail et puisque personne n'a d'antivirus, ça va être terrible...
(musique angoissante 2)
Pour tout dire, depuis 4 ou 5 ans j'utilise des Mac sans anti-virus, je fais un peu attention "sur quoi je clique" et pour l'instant il ne m'est rien arrivé de grave (ni à mes Mac d'ailleurs). Mais ça serait trop bête et puis je me suis dit que ça serait quand même quelque chose à tester, pour voir.
Je suis allé sur McAfee, non pas que je leur en veuille ou quoi que ce soit, c'est le nom, je me suis dit McAfee sur Mac, il doivent être faits pour s'entendre. J'ai téléchargé la version d'essai, j'avais 30 jours pour essayer, je n'ai pas regretté !
Côté installation, tout se passe super bien, la bête se lance et je lance une analyse complète.
Pour être complet, c'est complet, comme mon disque de 250 Go est bien plein, ça lui a pris 6 ou 8 heures (j'ai pas vu la fin, je dormais) pendant lesquelles ma pauvre machine brulait, soufflait et était quasiment inutilisable. Et, on me l'avait bien dit, ça y est , les virus sont arrivés. Enfin, il a trouvé 4 "choses", lui il appelle ça des menaces, mais il n'a pas voulu me dire ce que c'était. Donc, je ne suis même pas sur que c'était des "menaces" pour Mac ou pour Windows. En revanche il me dit aussi qu'il les a supprimées.
Supprimées !
Sans me demander mon avis, sans me dire lesquelles, sans me prévenir. Voilà une copie d'écran qui résume tout ce que je sais de la situation:
Je ne sais pas ce que vous en dites, mais moi, un programme qui rend ma machine inutilisable pendant plus de 6 h et qui ensuite efface 4 fichiers sans me dire lesquels, j'ai pas confiance ! Et comme j'ai l'impression que tout ça n'a servi à rien, je désinstalle !!Là j'ai eu un peu de mal, il ne suffit pas de supprimer le logiciel du dossier Application, il faut aller aussi bricoler dans la Bibliothèque.
Moralité
L'anti virus sur Mac c'est pas encore pour aujourd'hui !!!
mercredi 18 mai 2011
Redondance cyclique, vous connaissez ?
|
|
|
samedi 14 mai 2011
Construction d’une société numérique
Une idée répandue dans le grand public, est que nous vivons une révolution numérique depuis l’arrivée d’Internet en général et des réseaux sociaux en particuliers. De nombreux exemples sont utilisés dans les médias pour prophétiser ou témoigner de profonds bouleversements. L’actualité nous a donné plusieurs fois l’occasion de voir comment le monde réel pouvait se refléter et quelquefois s’amplifier dans les réseaux sociaux. Ainsi, après les élections Iraniennes de 2009 et les protestations qui avaient suivi, le réseau Twitter s’était fait le relais des opposants qui trouvaient là une caisse de résonance à leurs revendications. Plus récemment, certains ont glosé sur l’importance de Facebook ou de Twitter dans la « révolution » tunisienne. Ainsi, le virtuel, pensé autrefois comme hypothétique, est devenu aux yeux de certains l’endroit où se pense et se prépare le futur monde réel.
Cette attitude est dans le droit fil d’une pensée née très tôt sur la capacité des technologies de l’information à décupler les facultés cognitives des humains (Bush, Engelbard) par l’utilisation d’outils collaboratifs et autres systèmes hypertextuels dont l’organisation mimerait notre cerveau humain puis évoluerait avec l’intelligence collective. Cette hypothèse a en effet retrouvé vigueur avec le développement aujourd’hui des réseaux sociaux. Il nous est apparu important de prendre du recul et essayer de déconstruire ce dogme qui voudrait nous conduire à penser que l’humanité entière serait bientôt réunie dans un même cyberespace, mettant en œuvre une formidable capacité cognitive pour le bien de tous.
Loin du sensationnel, force est de constater qu’après la révolution industrielle nous sommes en train de vivre une « révolution numérique », et qu’elle est sans doute encore plus profonde et sensationnelle que ce que nous voulons bien en voir.
La révolution industrielle, même si elle avait transformé nos campagnes, nos cités et dans une large mesure nos façons de vivre, n’avait pas cette ampleur. Parce que la technologie de l’époque, couteuse, encombrante et complexe ne pouvait pas être mise en œuvre n’importe comment par n’importe qui. En revanche, le numérique et les dispositifs qui permettent de le mettre en œuvre sont devenus d’un coût presque marginal et nous pouvons voir de simples individus acquérir sur certains créneaux la capacité de concurrencer des multinationales.
C ‘est ainsi que nous pouvons encore constater qu’à l’heure du numérique les notions de genre, d’âge et autres frontières traditionnelles entre les humains sont bouleversées.
samedi 7 mai 2011
Le Livre Blanc de l'Open Source
Je participe depuis plusieurs années à la commission Open Source de Telecom Valley. Si vous travaillez à Sophia Antipolis et que le sujet vous intéresse, je ne peux que vous inciter à venir nous rejoindre. Nous sommes un groupe de personnes assez hétérogène, avec comme seul point commun l'envie de mieux connaitre les logiciels libres et d'en faciliter l'adoption : avocat, ingénieur, professeur, consultant, gérant, manager, directeur, free lance ou employé, il y en a pour tous les goûts !
L'année dernière nous avons tous travaillé ensemble à l'écriture d'un livre blanc à destination des entreprises, plutôt ciblé sur celles qui développent mais aussi sur celles qui utilisent des logiciels et finalement, ça fait pas mal de monde. L'idée est d'aider à comprendre les enjeux économiques et juridiques. C'est gratuit ou pas ? Garantie ou pas ? Et si je les utilise dans mes logiciel, c'est quoi la contagion de la GPL ? (je suis sur que le H1N1 ne vous faisait pas autant peur). Bref, si vous cherchez la réponse à ces questions, et plus encore, vous trouverez tout dans le Livre Blanc, lisible et téléchargeable ci-dessous.
Un dernier mot pour remercier Telecom Valley de nous donner l'opportunité de travailler ensemble, bonne lecture !
mercredi 20 avril 2011
Encore un !
Encore un ! Un nouveau site, un nouveau blog, une nouvelle occasion d'ajouter à la confusion du Web.
Depuis quelques temps j'explore les outils Web 2.0 qui pourraient m'aider à rendre mes cours plus participatifs, surtout dans le contexte multicampus de mon institution (SKEMA). Tout ça est parti de la découverte du mouvement EDUPUNK il y a plusieurs mois et le côté DIY qui est très attirant, parce qu'en faisant les choses soi même, le professeur reste plus proche de ses étudiants, il évite de rajouter plusieurs interfaces organisationneles, techniques ou autre entre lui et ses étudiants. Mais, vu la taille des groupes et le multi campus, il faut quand même s'appuyer sur des outils technologiques, les TIC avec un C pour communication, pour démultiplier et garder les choses possibles.
Et c'est ainsi que j'ai repris SPIP sur un site perso (Spip Altitude) mais aussi pmWiki (pmWiki Altitude) parce que je l'utilise en mode personnel pour essayer de ranger mes notes et idées. Finalement le wiki, en mode protégé pour éviter les mauvais plaisants, peut être une manière simple de maintenir un site. J'ai aussi essayé tumblr (http://marcyves.tumblr.com) qui est très efficace et bien plus "utilisable" qu'un blog à l'ancienne de type blogspot (http://marcaugier.blogspot.com/). En mettant en place tous ces sites, je me disais que ce serait bien d'avoir un hub personnel et j'ai trouvé about.me (http://about.me/marc.augier) qui permet d'ajouter des liens vers les profils Facebook, linkedIn, Twitter, YouTube, etc.
Enfin est arrivé Posterous, où nous sommes en ce moment et qui permet de mixer le passé et le présent. C'est ainsi que j'ai pu aspirer le contenu de http://about.me/marc.augier et que ce que je poste ici va se trouvé mentionné sur Facebook, twitter et les autres. Et en plus on peut poster depuis son mail. C'est la revanche du spammé ! Depuis son mail, on envoie un article sur son blog Posterous, qui se retrouve à faire la boule de neige sur ses différents profils Web 2.0.
On est bien loin de la pédagogie qui était le point de départ, mais il y a certainement matière à faire quelque chose avec une "machine à communiquer" pareille !!!
lundi 14 mars 2011
ENTRETIEN D'EMBAUCHE DANS UNE GRANDE ENTREPRISE POUR UN EMPLOI DE DIRECTEUR
Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
Candidat : - c'est la pensée.
Recruteur : - Pourquoi ?
Candidat : - Parce qu'une pensée arrive presque instantanément.
Recruteur : - Très bien, excellente réponse.
2º) Candidat formé à Polytechnique
Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
Candidat : - Un clin d'oeil.
Recruteur : - Pourquoi ?
Candidat : - Parce que c'est si rapide que parfois on ne s'en aperçoit même pas.
Recruteur : - Parfait
3º) Candidat formé à SUP de CO:
Recruteur : - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
Candidat : L'électricité.
Recruteur : - Et pourquoi ?
Candidat : - Voyons, quand on actionne un interrupteur on allume une lampe à 5 km de distance instantanément.
Recruteur : - Excellent.
4º) Candidat qui s'est formé dans une petite fac de province
Recruteur - Quelle est la chose la plus rapide du monde ?
Candidat: - Une diarrhée..
Recruteur: - Comment ça ? Vous plaisantez ? Expliquez-vous...
Candidat: - Je confirme. Hier soir j'ai eu une diarrhée si forte, qu'avant d'avoir la moindre pensée, en un clin d'oeil et avant de réussir à allumer la lumière, j'avais fait dans mon pantalon...
Recruteur: - La place est à vous !
Moralité : "'Formation technique et calcul ne sont pas tout...
" Savoir gérer et comprendre quand la merde arrive, c'est ce dont l'entreprise a besoin actuellement ! "
jeudi 10 février 2011
World Phone Finance
Par les étudiants de SKEMA qui ont besoin de votre soutien :
http://www.citizenact.com/fr/blogs/worldphonefinance/le-world-phone-finance-les-etapes-cles-the-world-phone-finance-the-key-steps/shared/citizen-act
mardi 18 janvier 2011
vendredi 7 janvier 2011
Partage d'idées
Façon tableau et post-it...
mercredi 5 janvier 2011
Singularity University
La première partie avec Jérémie Zimmerman, co-fondateur de la Quadrature du Net, association qui milite pour un Internet libre et ouvert est ce qui m'avait d'abord fait dresser l'oreille, mais j'ai eu ensuite le plaisir (le bonheur, la chance?) d'entendre Eugénie Rives, responsable des opérations pour l’Afrique chez Google.
Elle a présenté:
Mon séjour à la Singularity University de Google
La Singularity University a été lancée au printemps 2009, il s’agit d’un cursus universitaire très largement sponsorisé par Google, cursus qui a plusieurs formats, plus ou moins long (de quelques jours à quelques mois). La Singularity University nourrit quelques fantasmes. D’abord parce que tout ce qui touche Google nourrit les fantasmes. Ensuite parce que ce terme même de Singularity, qui fait référence à un concept fort (l’idée que la technologie atteindra un point, la singularité, où l’humanité connaitra une croissance technologique d’un tout autre ordre) nourrit aussi les fantasme. Témoignage d'une jeune française qui y a passé 2 mois et demi.
Son blog:
http://ygaw-bysiliconsentier.com/category/singularity-university
Le site de la Singularity University:
http://singularityu.org/
La chaine YouTube qui va avec
http://www.youtube.com/singularityu